Le statu quo, l’absence de changement, la continuité du pillage et de l’enrichissement illicite rapide et spontané, l’impunité ? Les riches financent les partis et les campagnes exactement pour cela.
Le vol et la mendicité font oublier leur premier devoir de participation financière aux pauvres démunis qui sont les premiers à avoir un intérêt quelconque dans le changement.
Le mendient et le voleur forment un couple diabolique contre la société toute entière, et particulièrement contre la démocratie, la liberté, l’intégrité et l’honneur qui exigent que l’individu souffre, donne de lui-même, et parfois même sa vie pour les autres, notamment pour sa famille et ses enfants.
La démocratie si elle ne dépend que d’une chose, et d’une seule chose c’est bien la participation financière active des pauvres comme le reste des citoyens à la vie des partis et des associations et au financement des campagnes électorales; C’est ce que font les citoyens les plus pauvres vivant pour certains de l’aide sociale, des pays développés qui nous aident et nous transforment en mendiants irrécupérables et improductifs parfois sans le vouloir..