La journée culturelle des étudiants de la 1ère 2ème année de l’école Supérieure d’Ingénierie d’Architecture et d’Urbanisme (ESIAU) a eu lieu le mercredi 1 Mai 2019 dans l’enceinte même de l’établissement. L’objectif était : d’informer et de sensibiliser les parents d’élèves, les élèves et étudiants sur les opportunités de formation au niveau de l’ESIAU. C’était placé sous la houlette du directeur général de l’ESIAU, Abdoulaye Deyoko, promoteur de l’établissement, les chefs de quartier de la commune III et les parents d’élèves.
Les activités de la journée se sont portés sur le panel d’activités, d’informations, d’orientation, la visite des matériels fabriqués par les étudiants, les séchages et maquette de construction ; les défilés traditionnels etc.
Selon Mariétou Camara, étudiante de la 1ère année licence ESIAU, l’idée est venue d’organiser cette journée parce qu’ilssont venus trouver une tradition à l’école, chaque année les étudiants de la 1ère année organisent une fête pas forcement culturelle mais une fête, juste pour que les étudiants soient souder, car l’ESIAU c’est comme une famille, nous devons tous agir ensemble. On a décidé d’organiser une journée culturelle pas seulement avec les étudiants de l’ESIAU, mais également avec les autorités, les parents et les amis des différentes universités pour que l’école puisse être connue davantage.
A ses dires, à l’ESIAU «nous avons beaucoup de culture africaine, dont le but principale de la journée c’est de promouvoir cette culture là, de faire connaitre les différentes cultures qui sont au centre de notre établissement ». Avant de terminer, elle a lancé un message fort aux autorités, de les aider à faire connaitre l’ESIAU qui est un grand établissement de la sous région.
Selon le promoteur de l’ESIAU, Abdoulaye Deyoko, cette journée culturelle a pour finalité d’offrir un cadre propice d’aide à l’orientation des élèves et étudiants sur les besoins du développement de l’architecture dans notre pays. Elle vise également à informer et sensibiliser les parents d’élèves sur les opportunités de formation dont bénéficient leurs enfants à l’ESIAU.
Il dira qu’il faut souvent laisser les jeunes créer eux même, définir leur monde futur qui n’est plus le notre, qu’on le veuille ou non le monde a changé et le monde va changer avec le numérique, avec l’intelligence artificiel. Selon lui, la deuxième intervention va porter sur l’intelligence artificielle. « Vous savez que Bamako vient de rentrer dans le smart city, en vrai français la ville intelligente. Il ya 10 villes africains qui pratiquent cela », a-t-il ajouté. Avant d’interpeller les soutiens de tous pour relever les défis.
M.O. COULIBALY
LE FONDEMENT
