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Réduction des risques de catastrophe : Une synergie d’action pour réagir au choc

Réduction des risques de catastrophe : Une synergie d’action pour réagir au choc

L’école de Maintien de la Paix Alioune Blondin M’Beye a abrité, le mardi 13 octobre 2020, la célébration de la journée internationale de la prévention des risques  et catastrophes, organisé par Wetlands Internationale. Le thème de cette journée était : « gouvernance de la réduction des risques de catastrophes ».

L’ouverture des travaux était présidée par le directeur général de la protection civile, le colonel major Seydou Doumbia, qui avait à ses cotés le directeur régional de Wetlands internationale, Dr Karonga Keita, de la représentante du PNUD, Adam Coulibaly et des partenaires clés.

A l’instar de la communauté internationale, le Mali célèbre le 13 octobre de chaque année, la journée mondiale de la prévention des risques et catastrophes. Il s’agit de faire des plaidoyers pour une forte implication des autorités dans la gestion des risques et catastrophes

Dans son mot introductif le colonel major Seydou Doumbia, dira qu’il n’y pas un seul pays aujourd’hui qui ne soit touché par une catastrophe, chez certains ce sont des tremblements de terres, chez d’autres ce sont des orages ou des tempêtes, la sécheresse, des inondations etc. Chaque pays à son type de catastrophe, donc face à ce phénomène mondial il faut une grande mobilisation, parce qu’aucun pays seul ne peut faire face efficacement à des catastrophes. Seul l’effort conjugué de l’ensemble des acteurs peut atténuer les effets néfastes de ses catastrophes.

Selon lui, tout le monde doit contribuer à la gestion des risques et catastrophes. Il s’agit à travers de ce thème de sensibiliser tout le monde, l’autorité, les décideurs, les populations, autour du phénomène à savoir la gouvernance, la réduction des risques et catastrophes. Les plaidoyers, les interventions, Chacun jouera son rôle les décideurs, acteurs financiers, la population. Avant d’ajouter que chaque année les catastrophes font des millions de pertes en vie humaines, des millions de déplacés et beaucoup de centaine de dollars anéantis. Donc s’il y a des actions de prévention de leur violence, la réduction des risques de catastrophe, nous parviendrons à anéantir ou à amoindrir les effets et catastrophes, pour cela nous aurons moins de perte en vie humaine, moins de déplacés  et moins de perte économique.

La représentante du PNUD, Mme Adam Coulibaly, pour sa part, affirme que ce projet doté d’un budget de 7,5 millions de dollars américains est financé par la Suède et le PNUD. Il contribue à la stratégie de la CEDEAO visant à réduire la vulnérabilité au changement climatique et à renforcer la résilience des communautés, ainsi qu’à la mise en œuvre du cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe dans la région.

En prenant la parole, le directeur régional de Wetlands internationale, Karonga Keita précise que Cette activité s’inscrit en droite ligne avec leurs visions, faire en sorte que les populations fassent de plus de résiliance possible face au catastrophe naturel, mais faire en sorte aussi que les catastrophes naturel ait moins d’impacts négatifs  possibles.

La finalité recherchée est de mettre en place des stratégies pour réagir au choc. La rencontre était aussi un plaidoyer pour la révision de la stratégie nationale pour les réductions des risques de catastrophe.

F. COULIBALY

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