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UJRM : Les meilleurs journalistes-reporters récompensés

UJRM : Les meilleurs journalistes-reporters récompensés

Dans le cadre de l’exécution de son plan d’actions, l’Union des Journalistes Reporters du Mali (UJRM) a organisé une nuit de Gala dénommée la Nuit de L’U.J.R.M, le Samedi 18 Juin 2022 à l’hôtel de l’amitié. Cette Première édition de la Nuit de l’UJRM était placée sous la haute présidence du ministre de la Communication, de l’économie numérique et de la modernisation de l’administration, M. Harouna Mamadou Toureh et placé sous le parrainage de M. Salif Sanogo, ancien Directeur Général de l’ORTM et de Mme Fatoumata Mbarka Mint Hamoudy, présidente de l’Association Femmes.

Lors de cette soirée, les meilleurs patrons de presse et les meilleurs journalistes reporters du Mali de chaque catégorie d’organe de presse (télévision, radio, presse écrite, presse en ligne) ont été recompensés. Cette tâche a été confiée à un jury composé d’un représentant de chaque faîtière de différentes catégorie d’organe de presse à savoir,  l’UNAJOM, APPEL-Mali, URTEL, ASSEP et UJRM.

Le président de l’UJRM, Boubacar Kanouté, dira que cette nuit, l’UJRM a tenu à récompenser les patrons de presse qui assurent la sécurité sociale et professionnelle de leurs journalistes reporters et aussi récompenser les journalistes qui se sont distingués par leur sérieux dans le travail (comportement sur le terrain et respect de l’éthique et de la déontologie dans le traitement de l’information).

En effet, l’UJRM créée en 2019, regroupe l’ensemble des journalistes reporters du Mali de Kayes à Menaka, avec objectif principal d’assainir le secteur de la presse malienne, qui souffre d’une anarchie totale. Aussi son but est de : promouvoir et protéger les droits et devoirs des membres, valoriser le métier de journalisme ; former ses membres pour une meilleure connaissance du métier de journalisme, veiller au respect de l’éthique et la déontologie du métier de journalisme et enfin promouvoir la solidarité et le respect mutuel entre ses membres, d’une part, et promouvoir la liberté d’expression, d’autre part.

F. COULIBALY

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