Le leadership de son Président directeur général (PDG), Ibrahim Diawara, la société IBI Group envisage de révolutionner le secteur de l’agriculture via sa filiale DIAZON. En effet, à ce début du mois d’avril, cette société vient mettre aux marchés sa première récolte de melon et de pastèque super succulents à des prix imbattables.
Face aux résultats obtenus, le Président directeur général de IBI Group, Ibrahim Diawara a dit ceci : « Je suis agréablement surpris du rendement obtenu par hectare de melon et de pastèque de notre filiale Diazon, Société d’IBI Group spécialisée dans l’agrobusiness sur son lieu d’expérimentation de Salla sur la route de Koulikoro ». Selon lui, ils ont pu produire des melons d’une qualité exceptionnelle qu’ils ont mis sur le marché pratiquement à moitié prix comparé au melon importe. « Les pastèques aussi seront mises sur le marché dès le lundi et le tout, en moins de 59 jours. Qui dit mieux ? », énonce-t-il.
Nous assistons au Mali, estime-t-il, à l’importation massive de melon et de pastèque des pays du Maghreb à près de 4000 km et traversant des pays pour nous vendre des fruits constitués à près de 90 % d’eau. Ces productions viennent souvent des zones arides. « Le Mali par contre est traversé par deux grands fleuves d’Afrique à savoir : le Niger et le Sénégal. Quel paradoxe ! C’est là où je donne raison à Sheikh Mohammed de Dubai quand il dit : « Les temps difficiles produisent les hommes forts… » », indique le PDG Diawara. Ainsi, il fait savoir qu’au Diazon, ils se sont donnés comme objectif de faire du Mali un pays autosuffisant et exportateur de pastèque et melon dans un avenir proche. Pour lui, il est évident que cette nouvelle aventure de Diazon est le chemin que toute l’Afrique devrait emprunter si elle veut faire face au défi de son développement qui passe par l’autosuffisance alimentaire. Et d’estimer que l’agriculture est un gros levier de croissance économique et créatrice de richesses et d’emplois.
Cependant, on peut espérer que les autres opérateurs économiques du continent vont suivre l’exemple d’Ibrahima Diawara et se lancer dans l’agriculture pour rendre l’Afrique moins dépendante de l’extérieur en matière alimentaire. Ils devraient avoir la motivation profonde qui a poussé l’industriel Ibrahima Diawara à se lancer dans la production.
B. KONE
Je suis technicien d agriculture. Depuis 2012 je travail L IER sur un projet de changement climatique. ACC.. les activités sont menée la région de kayes précisément à Yélimané. Mes activités sont basée sur la culture de décrue avec différents spéculation dont le Mais. Le sorgho, le niebe, l arachide, etc. Mais depuis décembre 2022 je ss en chômage puis le financement est arrêté par l ambassade de Norvège puis que c est la Norvège qui finance ce projet au sein de l IER.