Le développement du secteur de l’agriculture est l’un des secteurs permettant à un pays d’émerger. Le Mali étant un pays très vaste, le développement de son agriculture ne serait qu’un levier incontestable pour son développement en terme économique et en terme d’auto-suffisance alimentaire. Cela compris, le Président directeur général de la holding IBI Groupe, Ibrahima Diawara et son staff ne se lassent à aucun moment pour donner de l’espoir au peuple malien avec leur société Diazon à travers ses différentes expérimentations sur le Melon, le Pastèque, le Coton…
Aujourd’hui on peut affirmer qu’il y a de l’espoir pour le développement du secteur de l’agriculture en terme de révolution et de modernisation. L’une des sociétés qui donne cet espoir est bel et bien la société IBI Groupe, à travers sa filiale Diazon. Depuis des années, sous le leadership et la clairvoyance de son Président directeur général, Ibrahima Diawara, elle dispose de champs pour expérimenter plusieurs productions dont le melon, le pastèque, le coton etc.
En effet, les résultats de l’expérimentation de ces différents champs sont éloquents et bénéfiques. Quant même, la société Diazon est en train de révolutionner et moderniser le secteur de l’agriculture pour le rendre plus rentable en terme d’économie. Car, ses productions sont plus rentables. Déjà, vu l’exploit de ces champs d’expérimentations beaucoup de personnes ont rendu visite sur les sites pour être des témoignes oculaires. C’est pourquoi, le mardi 11 octobre 2022, une forte délégation s’est rendu sur l’un des champs de Diazon à Sala. Elle était composée d’anciens députés Souleymane Camara, madame Binta Bittar, Amadou Sidibé , Aminata Keïta et Monsieur Dollon, de la Société israélienne Netafin, leader mondial dans le système d’irrigation goûte à goûte.
Le rendement du coton a atteint 3 tonnes à l’hectare
Selon le PDG, Ibrahima Diawara, cette visite a permis d’apprécier à sa juste valeur les derniers développements du champ d’expérimentation de Diazon à Sala, notamment la récolte du coton. Ensuite faire le constat de l’état d’avancement des cultures de pastèques, melon, et concombres. « Les visiteurs étaient agréablement surpris par la récolte de notre parcelle d’expérimentation de coton. En effet, le rendement du coton a atteint 3 tonnes à l’hectare sachant que la moyenne nationale est d’une (1) tonne à l’hectare. Et le poids de la capsule est de 4g alors qu’un pied de cotonnier peut contenir jusqu’à 11 capsules. Avec cette expérience sur le coton au rendement de 3 tonnes à l’hectare qui dit mieux !!! », a déclaré le PDG Diawara.
Il est possible de cultiver le coton deux fois par an
En sus, il fait savoir que leur objectif est d’introduire cette nouvelle variété de coton pour améliorer les conditions de vie de nos braves paysans, en passant de 280 000 f CFA de revenus moyennes par hectare a plus de 1 680 000 F Cfa . Cela est possible au Mali, en plus, il est possible de cultiver le coton deux fois par an grâce au système d’irrigation goûte à goûte, rassure-t-il. Il ajoute que ce serait donc une révolution dans la culture cotonnière et la filière coton, de surcroît le moteur de développement du Mali. Car, estime-t-il, le coton, c’est aussi la production de l’huile, de l’aliment bétail, des usines d’égrenage, de la filature et toute la valeur ajoutée qui va avec. « Je vous annonce aussi qu’avec la bénédiction de Dieu, et de vous tous le démarrage bientôt de la première phase du méga projet agricole de 1000 ha dans la région de Kayes », annonce le PDG, Ibrahima Diawara. Et d’énoncer qu’ensemble pour un Mali émergent avec l’innovation agricole pour le bonheur de millions de maliens. Avant de conclure qu’il croit au génie malien, et qu’à cœur vaillant rien n’est impossible.
B. KONE
