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Journée nationale de la souveraineté retrouvée : Ce samedi chômé et payé au Mali

Journée nationale de la souveraineté retrouvée : Ce samedi chômé et payé au Mali

Dans le cadre de la célébration du 1er anniversaire de la grande mobilisation contre les sanctions de la CEDEAO et de l’UEMOA, les autorités de la transition ont décidé de designer le 14 janvier, Journée nationale de la Souveraineté Retrouvée. A cet effet, elle sera chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national.

En effet, lors du conseil des ministres du mercredi 11 janvier 2023, le ministre de la Refondation de l’État, chargé des Relations avec les Institutions a informé le Conseil des Ministres des préparatifs de l’organisation de la Journée nationale de la Souveraineté Retrouvée

Il rappelle que la célébration du 1er anniversaire de cette grande mobilisation est prévue le 14 janvier 2023. Elle vise à renforcer le sentiment patriotique et à magnifier la souveraineté retrouvée du Mali qui repose désormais sur les trois principes définis par le Président de la Transition, conformément à la vision du peuple malien, à savoir : le respect de la souveraineté du Mali ; le respect des choix stratégiques et de partenaires opérés par le Mali ; la défense des intérêts vitaux des populations maliennes dans toutes les décisions prises.

Ainsi, il précise que la célébration de ladite journée sera marquée entre autres par : la montée des couleurs avec chant de l’hymne national dans les établissements scolaires ; l’animation des leçon-modèles en milieu scolaire sur le thème du patriotisme, la souveraineté, la résistance nationale et la refondation ; l’organisation des conférence-débats en milieu universitaire et dans les capitales régionales.

Par ailleurs, il est à rappeler qu’après le coup d’État militaire contre le régime de feu IBK, les autorités de la transition dont les militaires ont promis une durée de transition de 18 mois. A l’issu de laquelle les élections présidentielles devaient se tenir en février 2022. Malheureusement, elles n’ont pas pu tenir leur engagement d’où les sanctions de la CEDEAO et de l’UEMOA suivies par plusieurs européennes. Quand même, il serait mieux pour la crédibilité des autorités de la transition sous la houlette du Colonel Assimi Goita de respecter leur propre délai donné qui est déjà en retard par rapport à sa mise en exécution.

M.O. COULIBALY 

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